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"JE VAIS TUER RON GALELLA" - ELIZABETH TAYLOR
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"JE VAIS TUER RON GALELLA" - ELIZABETH TAYLOR

Enfant du Bronx, fils d’un fabricant de cercueils et de piano, Ron Galella saisit un moment charnière du star system, de Chaplin à De Niro, de Garbo à Brooke Shields.

En photographiant les célébrités de la fête à la rue, il fait du monde une longue soirée: Jackie et Onassis chez P.J. Clarke, Robert Redford rentrant chez lui, les McCartney devant un supermarché: “Ron, il suffit de demander”.

Éminemment New York, son monde est fait d’élégance et de désinvolture: la poignée de frites d’Elizabeth Taylor, la beuverie de Brando, un paparazzi au MoMa. Tous habillés, tous en soirée: jeunes stars, mondains, milliardaires, philosophes. De haut en bas: Richard Avedon mirant Kate Moss, Vladimir Horowitz au Studio 54. (Galella décrira le lieu comme “un plateau télé géant”).

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Des instantanés plus que des portraits, les images montrent une société de croisements. James Baldwin rencontre Richard Gere; John Lennon, Mick Jagger; et Grace Jones…Ron Galella.

Cela ne va pas sans pertes: cinq dents pour Brando, 10 000$ pour Onassis, une autre dent pour Richard Burton, ses pneus pour Elvis. La plus tristement célèbre demeure Jackie. Des milliers de photos qu’il prit, une fût de trop. Elle crie “Smash his camera !”, et on lui ordonne de rester à 10 mètres d’elle - par décret. Un ami s’en amuse: “Ron, c’est le prix du premier amendement”.

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Ce monde ne s’arrête jamais. Chambre noire à domicile, il tombe sur Andy Warhol un jour de repos. Au zoo du Bronx, Warhol accepte, pose, et se fait ramener chez lui par le photographe: le 12 Juin 1983. Warhol déclare plus tard: “Ma conception d’une bonne photo obéit à deux lois: la netteté et une célébrité loin des feux de la rampe. Il s’agit d’être au bon endroit au mauvais moment. C’est pourquoi mon photographe préféré est Ron Galella.”

L’enfant de deux immigrés, son parcours est une success story américaine: cette époque est celle de ses photos, dans Time, Harper’s Bazaar, The New Yorker, ou Life, jusqu’aux rétrospectives du MoMa, de la Tate, ou du Centre Pompidou.

Loué par Glenn O’Brien comme “un réaliste brillant capable de représenter le monde avec fidélité”, Galella a pris sa retraite en 2004. Aujourd’hui, dit-il, les célébrités sont à la fois trop prêtes et pas assez - apprêtées et empruntées.

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