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JEAN-PIERRE MELVILLE
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JEAN-PIERRE MELVILLE

Les films de Jean-Pierre Melville sont dominés par la solitude, l'échec et la mort. Des films dits « noir » : Le Doulos, Le Deuxième Souffle, Le Samouraï, Un Flic, Le Cercle Rouge témoignent d’un style propre, d’un mécanisme précis qui se répète. La trahison y est omniprésente, le film se concentre sur l’exécution d’un coup (un assassinat, un braquage), la mise en scène est austère et efficace. Les plans sont longs, peu bavards, les décors ciselés, le montage minimaliste.

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Un réalisateur emprunt d'une élégance américaine

Le style de Melville est affirmé riche en références, témoin de ses influences cinématographiques.  Passionné par le cinéma américain, des films tels que Casablanca de Michael Curtiz sorti en 1942 ont contribué à façonner le style melvillien. Voulant devenir un « personnage » du cinéma populaire français, il se construit un uniforme, telle une figure type de fiction.

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L'uniforme des personnages des films de Melville

Les vêtements sont choisis et associés pour créer de forts contrastes à l’écran. Le fétichisme vestimentaire de Jean Pierre Melville transparait sur ses personnages. Les personnages principaux ne portent que des chemises blanches, des costumes gris anthracites ou bleus marines auxquels s’ajoutent un pardessus camel ou un trench-coat mastic. Feutre mou, trench-coat ceinturé à la taille, lunettes de soleil (aviateurs ou en écaille épaisse) dessinent l’uniforme melvillien, où se joignent le dandy et le voyou.

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